" Les remerciements, oui, je sais, c'est toujours un peu gonflant - surtout quand on n'est pas dedans, c'est-à-dire presque toujours. Il va remercier sa mère, son barman, le neveu de son éditeur, le facteur et feu son grand oncle. L'avantage dans un livre, contrairement aux César ou aux Molières par exemple (il faudra que je pense à demander à un spécialiste pourquoi César ne supporte pas le pluriel et Molière l'encaisse en haussant les épaules), c'est qu'on peut les passer d'un coup de doigt, fluf, ça n'existe plus. En même temps, ce ne sont que quelques lignes et il n'y a plus rien après, il faudrait vraiment avoir autre chose à faire. Mais ça arrive souvent, qu'on ait autre chose à faire, c'est le principe de la vie. Donc à ceux qui referment "La Serpe" ici : merci de l'avoir lu jusqu'à la fin. (Maintenant vous êtes dedans, du coup il serait un peu déplacé, malotru de votre part, de zapper les autres.) "