tilly's partie
mardi 30 juin 2009
la fête fut très belle, mais la fête est finie, restent les souvenirs, et... la suite :
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la fête fut très belle, mais la fête est finie, restent les souvenirs, et... la suite :
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c'était ce weekend à Samois, le festival de jazz Django Reinhardt, aux bords de la Seine, sous les grands arbres de l'île du Berceau : des enfants, des chiens, des péniches, du soleil, de la poussière, des guitares, des jeunes, des vieux, des beaux, des laids, du saucisson, des frites, et de la Musique...
... comme le formidable trio (augmenté en quatuor) de Hänsche Weiss, clone manouche de Francis Blanche...
Sur le blog de la Cinémathèque Française [lien], Serge Toubiana annonce la bonne nouvelle :
"Le Tribunal de Grande Instance a déclaré ce matin la nullité du contrat qui liait Pierre Etaix à la société Gavroche Productions, ainsi que l'irrecevabillité de la partie adverse contre la Fondation Groupama Gan pour le Cinéma, à laquelle il était reproché d'avoir procédé à la restauration de Yoyo en 2007. Gavroche Productions qui demandait 1,4 million d'euros de dommages et intérêts à la Fondation Groupama Gan, considérant que cette restauration constituait un préjudice à l'exploitation du film, a donc été débouté de ces poursuites. Le TGI a condamné Gavroche Productions à verser dix mille euros de dommages et intérêts à la Fondation Groupama Gan pour procédure abusive. "
Lire la suite "affaire des films Etaix - délibéré du 26 juin 2009 : happy end !" »
'Moi je dis que ce clip est un miracle. L'échange springsteen-wonder-ray charles de la fin, me fait chialer chaque fois. De bonheur. J'assume, et ... Thanks for that, buddy!'
merci MonsieurResse [lien]
le syndrome de déni de retraite ça existe vous croyez ?
et le chanter... spécialement aujourd'hui pour Mitrouche
Dans le bus 88 je me suis installée à ma place préférée, derrière la séparation intérieure vitrée après les portes de sortie, là où ça forme comme un compartiment pour deux personnes. Il y a un petit panneau sur la paroi vitrée qui informe sur les transports qui seront mis en place pour la Fête de la Musique, dimanche prochain.
A côté de moi, la femme téléphone, le visage un peu détourné vers la vitre, sur l'extérieur. Pour une fois la demi-conversation n'est pas vraiment gênante, presque intéressante. Elle porte sur des restructurations et des licenciements attendus à France Télévisions.
Je connais cette voix, cette intonation.
La courte conversation terminée, la femme prend congé de son interlocuteur. Elle change de posture, regarde maintenant droit devant elle, et je distingue mieux le reflet de son visage sur la vitre de la séparation. Je vérifie mon intuition sans avoir besoin de la dévisager :
- madame Cottençon ?
Elle me sourit. Je lui dit que c'est sa voix...
Elle s'excuse gracieusement pour la conversation téléphonique. Je lui demande si elle est au théâtre en ce moment. Non, mais elle fait des lectures. Et nous parlons festivals estivals... celui de Grignan [lien] où elle sera et qu'elle me recommande chaleureusement, celui des Correspondances de Manosque [lien] où je retournerai cette année fin septembre, dont elle a beaucoup entendu parler mais qu'elle ne connait pas encore.
Nous nous souhaitons une bonne soirée et un bel été. Je descends boulevard Pasteur.
Vous êtes toujours nombreux à débarquer ici à la recherche d' informations sur Pierre Etaix pour les uns, et sur Marc-Edouard Nabe pour d'autres.
J'ai créé deux nouvelles catégories pour regrouper mes billets au sujet de leurs œuvres ou de leur actualité :
http://tillybayardrichard.typepad.com/le_blogue_de_tilly/nabe/
http://tillybayardrichard.typepad.com/le_blogue_de_tilly/etaix/
Merci de vos visites !
J'étais sans doute encore sous l'impression positive d'un petit voyage récent dans le Somerset ésotérique [lien], quand j'ai choisi de recevoir pour le critiquer ici et sur le site de Babelio, le roman policier de Dame Phyllis Dorothy James, parmi la sélection des ouvrages de l'opération Masse Critique [lien].
Je n'ai pas totalement regretté mon choix impulsif (la couverture ?), mais je n'ai pas non plus été vraiment séduite par le dernier opus de l'une des majestés du polar britiche. C'est un honnête gros roman policier de facture très Christienne, à lire dans le train ou en cas d'intempéries lors de vacances plutôt celtiques que méditerranéennes.
Lire la suite "[masse critique] Une mort esthétique, roman de P. D. James" »