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9 notes en avril 2007

Quand le bâtiment va... [1]

Ca va28avril2007

Je jubilais, lorsque nous avons commencé les travaux dans l’appartement, il y a un peu plus d’un mois. Et je me disais qu’en plus, j’allais avoir la matière pour une chronique comico-exaspéro-tragique sur mon bloug, où j’allais pouvoir raconter l’un après l’autre, les avatars et retards immanquables de l'avancement du chantier, que mes amis et amies me prédisaient.

Et bien, pas du tout. Jusqu’ici tout va bien, comme disait le type en passant (à  l’extérieur) devant la fenêtre du 56 ème étage de l’Empire State Building.

Jugez vous-mêmes !

[à suivre]


[citation] La politique mise au net

"Vous vous souvenez sans doute de Winston Smith dans 1984... Son job au Commissariat des Archives était de falsifier l'Histoire, en effaçant tout ce qui pouvait gêner le pouvoir, et en réécrivant les articles des journaux pour les rendre conformes à la version officielle. Ce matin, je me suis frotté les yeux et je me suis demandé un instant si après avoir craint un ministère de l'Identité avec un candidat Big Brother, on ne risquait pas d'avoir un ministère de la Vérité avec Big Sister..."

Parce qu'il vaut mieux en rire un peu  (avant que d'en pleurer  beaucoup ?), je vous conseille de lire la note de Jean Veronis qui commence par l'extrait que j'ai reproduit ci-dessus.


Où l’on me voit enchaîner les soirées déchaînées

  • la Conférence Berryer (merci Thomas)  -- une addiction débutante
  • les Bachiques Bouzouks -- une addiction installée, je serai à leur prochaine session sur les marches du Sacré-Cœur samedi 5 mai à 15 heures
  • les soirées du Piano-qui-chante (merci Thomas-le-même) -- une découverte à faire vendredi prochain, je vous dirai…
  • les cours de jazz vocal d’Isabelle CarpentierNouba -- une douce habitude, mais la date du concert de fin d’année au Franc-Pinot approche, et le stress monte
  • les cours de gym Feldenkrais de Françoise Figuière -- pour apprendre à maîtriser le stress, justement, et à bouger librement
  • la sortie théâtre mensuelle avec les copains -- ce mois-ci ce sera « A la recherche de Joséphine », à l’Opéra Comique
  • Mais attention rien de rien le mercredi soir qui doit rester totalement libre jusqu'à fin juin pour 

    La Nouvelle Star.

    Certains qui m’ont connue moins agitée s’étonneront sans doute, d’autres comprendront peut-être.


Faire-part

Rejoignez-moi pour encourager un petit  nouveau venu dans la blogosphère.

Il est cher à mon cœur de maman blogueuse, et va bientôt partir pour un long voyage en  Argentine.

Adressez-lui  des commentaires, des questions, des tuyaux,  mais surtout ne lui dites pas que c’est de ma part, il prendrait ça pour du piston et bouderait. Et je vous en supplie, ne lui dites rien concernant l'ortografe ou l'utilisation fantaisiste et arbitraire des lettres haut-de-casse et des accents. Please aussi, ne lui suggérez pas l'utilisation d'un correcteur orthographique... Et ne lui dites pas non plus, que le ski et le parapente sont des sports très dangereux. Il n'aime pas quand je on lui fait ce genre de remarque.

Je lui avais conseillé Viabloga, mais il n’en fait qu’à sa tête (c’est un bélier, comme sa sœur).

Pour le blog de Clément, hip-hip-hip ! houra !


PS : l' Association Horizons Argentine   pour laquelle Clément va travailler bénévolement cet été a pour but d'aider les enfants des quartiers défavorisés de Buenos Aires tout au long de leur scolarité. Elle recoit des dons.


[Charles le bellevillois] Il revint de guerre, ils se marièrent et eurent trois enfants

Episode précédent : La bataille de Berlin, avril-mai 1945
Premier épisode : Charles de Belleville

Note de l'Photo_0004éditrice : Celui-là est mon épisode préféré !

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Dès mon retour, je revis Suzel mon amie d’enfance du Vert-Galant.

La guerre l’avait refoulée à Caen où elle travaillait comme secrétaire aux Chantiers navals de Blainville dont son père dirigeait la comptabilité. À la Libération, elle était revenue à Paris, occuper l’appartement rue Jouffroy. Elle avait pris sa part de risques guerriers lors du débarquement et des bombardements de Caen. Trois cent cinquante, là aussi, mais en deux mois seulement !


« Mariés » déjà, à diverses reprises, lors de nos jeux d’enfants, nous décidâmes en cet hiver 1945-46, de nous fiancer, puis de nous unir pour de bon cette fois, le 24 juin.

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[citation] Hervé Resse, un quincadra en révolte

Dans le post-scriptum de sa « Lettre ouverte à Ségolène, à François, à Nicolas », Hervé Resse écrit :

PS: Si ami lecteur ou trice, tu te reconnais dans ce texte, et que tu as un blog, ou un site, ou une page, je t'invite à faire mention de ce texte, ou le reprendre, ou le signer. Et si on lançait la Grande Révolte des Quinquadras?

C’est un vrai plaisir que de relayer un tel message. Lisez-le (texte reproduit intégralement dans la suite de cette note), et faites passer. Merci.

Dans sa lettre ouverte, Môssieur Resse salue ( -lol- ?) le rajeunissement de la direction politique du pays, d’ores et déjà acquis, avant même le scrutin. Il adresse ses vœux par avance à l’un des trois postulants (le meilleur ?) dans ce nouveau poste, mais grince son amertume de ne constater aucune diminution de la discrimination des séniors à l’embauche, et par voie de conséquence, il cassandrise sur l'impossible dossier des retraites.

J’ajoute que le tiercé politique actuel - dans n’importe quel désordre - est également très représentatif d’une autre classe de chercheurs d’emploi que celle des quincadres. Tous trois sont à la recherche de leur premier emploi de chef d’état. Aucun d’entre eux n’a jamais brigué nos suffrages à l’élection présidentielle auparavant. Ce sera la première fois (depuis longtemps ?) qu’aucun des candidats à la magistrature suprême n’aura jamais exercé la fonction antérieurement. Des bleusailles, en quelque sorte. T’as dis combien, le préavis d’embauche, cinq ans ?

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De deux choses lune

Lune2

Hier soir, rue de Rivoli, la lune était blanche et pleine, au-dessus de Saint-Paul, comme sur une estamSoleilpe d’Hiroshige.

Ce matin le soleil est rouge entre les tours de l’avenue d’Italie, comme dans un tableau de Monet.


 

"De deux choses lune, la troisième c’est le soleil", In : Le Paysage Rêveur, Paroles, Jacques Prévert.