Dans le post-scriptum de sa « Lettre ouverte à Ségolène, à François, à
Nicolas », Hervé Resse écrit :
PS: Si ami lecteur ou trice, tu te reconnais dans ce texte, et que tu
as un blog, ou un site, ou une page, je t'invite à faire mention de ce
texte, ou le reprendre, ou le signer. Et si on lançait la Grande
Révolte des Quinquadras?
C’est un vrai plaisir que de relayer un tel message. Lisez-le
(texte reproduit intégralement dans la suite de cette note), et faites
passer. Merci.
Dans sa lettre ouverte, Môssieur Resse salue ( -lol- ?) le rajeunissement de la
direction politique du pays, d’ores et déjà acquis, avant même le
scrutin. Il adresse ses vœux par avance à l’un des trois postulants (le
meilleur ?) dans ce nouveau poste, mais grince son amertume de ne
constater aucune diminution de la discrimination des séniors à
l’embauche, et par voie de conséquence, il cassandrise sur l'impossible dossier des retraites.
J’ajoute que le tiercé politique actuel - dans n’importe quel désordre
- est également très représentatif d’une autre classe de chercheurs
d’emploi que celle des quincadres. Tous trois sont à la recherche de
leur premier emploi de chef d’état. Aucun d’entre eux n’a jamais brigué
nos suffrages à l’élection présidentielle auparavant. Ce sera la
première fois (depuis longtemps ?) qu’aucun des candidats à la
magistrature suprême n’aura jamais exercé la fonction antérieurement.
Des bleusailles, en quelque sorte. T’as dis combien, le préavis
d’embauche, cinq ans ?